C’est la Saint-Valentin ❤️.
L'amour et les relations sont au centre de l’attention (enfin, il me semble 👀). Mais savais-tu que dans l’océan, il existe aussi des relations 😃 ? Bon, la Saint-Valentin, ce n’est pas leur problème ! Mais il y a plusieurs types de relations. je me suis amusé à les comparer à nos types de relations 👀.( pour mieux visualiser)
- Il y a des relations « saines », on parle de relations mutualistes.
- Des relations à sens unique, ce sont les relations de commensalisme.
- Et bien évidemment, les relations « toxiques » , c’est du parasitisme.
Là, tu vois déjà un peu le tableau ! Mais laisse-moi te donner quelques exemples pour chaque type de relation !

1. La relation mutualiste (la relation saine)
Une belle relation où chacun des partenaires est bien ? 🥰Les relations mutualistes sont ce genre de relation ! Les deux organismes tirent profit de la relation ! ⚖️
La plus connue, c’est sûrement celle entre les coraux et les zooxanthelles. 🪸
- Les coraux fournissent un habitat protégé,🏠
- et les zooxanthelles effectuent la photosynthèse et produisent de l'oxygène ainsi que des nutriments (le glucose, le glycérol et les acides aminés) qui permettent la croissance et la survie des coraux.🍜
Elles donnent la couleur aux coraux ! Lorsque l’eau chauffe trop, cela les stresse et les coraux expulsent les algues. C’est le blanchissement des coraux.🧐
C’est une des relations les plus importantes de la vie sous-marine, car elle permet aux coraux de grandir et de créer les récifs coralliens, qui sont une oasis de vie. 😍 (Ouais, le grand large, c’est pas la folie👀.)
Mais ici, c’est une relation symbiotique mutualiste : les deux ne peuvent pas vivre l’un sans l’autre

Sinon, tu connais forcément la relation entre le poisson-clown et l'anémone de mer (si tu as vu "Nemo", c’est obligé) !
- Le poisson-clown trouve refuge dans les tentacules urticantes de l'anémone, qui le protègent des prédateurs. Il est immunisé et ne craint pas les piqûres 🥰.
- L’anémone de mer bénéficie de la présence du poisson-clown qui attire des proies potentielles, la nettoie en mangeant les restes de nourriture et éloigne les parasites.🦠

La coopération interspécifique est une forme de mutualisme. Dans cette relation, deux espèces différentes collaborent ! Par exemple, le mérou et la murène collaborent pour la chasse.
- Le mérou utilise sa rapidité et sa capacité à nager dans les eaux ouvertes pour pourchasser les proies.
- La murène utilise son corps fin et allongé pour se glisser dans les crevasses et les recoins où les proies peuvent se cacher.
Tu peux également rencontrer le mérou et le poulpe ( ouais j’ai l’impression que le mérou est du genre sociable 😃)
En chassant ensemble, ces deux prédateurs augmentent leurs chances de capturer des proies.😋 Cependant, ils ne partagent pas nécessairement les proies capturées.😐

2 Le Commensalisme ( la relation un peu reloue quand même 😅)
Un organisme bénéficie de la relation, tandis que l'autre n'est ni aidé ni blessé.(#amiparintérêt)
Voilà une relation pas très équilibré !👀
L’exemple le plus connu c’est la relation entre les rémoras et certains grands poissons ou mammifères marin (les requins, les raies ou les tortues de mer)
Ces poissons possèdent une ventouse sur le dessus de leur tête qui leur permet de s'attacher aux plus grands animaux.
Comme ça elle bénéficient d'un transport gratuit et d'une protection contre les prédateurs. 🛫
Elles profitent également des restes de nourriture laissés par leurs hôtes.😋
(Ouais j’ai pas encore de photo de rémoras😅)

On peut retrouver quelques poissons gobies qui vivent parmi les épines des oursins, profitant de la protection contre les prédateurs offerte par les épines, tandis que l'oursin n'est ni aidé ni gêné. 🐠
Il y a des exemples de relations commensales qui peuvent parfois devenir parasitaires, comme celle entre le crabe petit pois et l’huître. 🦀
Le crabe petit pois trouve refuge à l’intérieur de l’huître pour se protéger des prédateurs. Tant qu’il n’est pas nuisible, on parle de relation commensale. 😌Cependant, il arrive que le crabe pique de la nourriture ou abîme les branchies de l’huître ! À ce moment-là, la relation devient parasitaire car elle nuit à la santé de l’huître.😬
(D’ailleurs, si tu manges des huîtres, tu as sûrement déjà mangé un crabe petit pois. Ce sont des protéines en plus à gagner, après tout 🤷♀️.)
Enfin, on peut parler du...
3. Parasitisme (LA relation toxique 😱)
C’est quand un organisme (le parasite) profite de l'autre (l'hôte), qui est souvent endommagé par la relation.
Dans l’océan, le « partenaire toxique » est représenté par les poux de mer ! 😅
Ce sont de petits crustacés qui se fixent sur la peau, les branchies, ou les nageoires des poissons. Ils se nourrissent du mucus, de la peau, et du sang de leur hôte. 🩸
Malheureusement, les poissons hôtes subissent cette collaboration et perdent des tissus et du sang. Cela entraîne des infections, une diminution de la croissance, et une vulnérabilité accrue aux prédateurs.😢
( la crevette nettoyeuse est là pour l’aider, elle enlève les peau morte et parasite sur les poissons. C’est du mutualisme)

Dans le genre un peu collant et relou,😅 il y a certaines espèces de poissons qui profitent de la chasse d'autres animaux pour obtenir de la nourriture.
C’est ce qu'on appelle le "cleptoparasitisme" ou "parasitisme de vol." Les poissons opportunistes suivent les prédateurs plus grands ou plus efficaces et profitent des proies effrayées ou blessées, et consomment les restes de la chasse.👀
Voilà, une petite astuce de rat pour bénéficier de la chasse sans prendre trop de risques ou investir autant d'énergie.👌

Il existe un parasitisme assez « intéressant » (ou ingénieux, je ne sais pas) connu sous le nom de "parasitisme sexuel."🤔
On le trouve chez certaines espèces de poissons abyssaux, comme les poissons-lanternes ou les baudroies des abysses.
Les mâles sont beaucoup plus petits que les femelles ; ils se fixent physiquement à la femelle et fusionnent avec elle 👀. Leur vie dépend de la femelle. En retour, le mâle fournit en permanence du sperme à la femelle, assure ainsi la reproduction lorsqu'elle est prête à pondre des œufs.🥚
Ce type de relation est adapté aux environnements profonds où rencontrer un partenaire peut être rare. Cette stratégie est efficace pour la reproduction de l’espèce. (Ouais, dans l’océan aussi, ce n’est pas toujours facile de trouver l’amour 😕.)

Voilà 3 types de relations intéressantes à observer dans l’océan ! C’est avec un peu d’humour que je parle de relations saines et toxiques pour mieux visualiser, mais elles sont toutes importantes pour l’équilibre de l’océan (le parasite permet de réguler les populations). 🐋C’est comportements montre comment les animaux se sont adaptés pour survivre. C’est interaction sont essentiels pour l’équilibre et la santé des écosystèmes marin: elles permettent plus de diversité, la régulation des populations et une meilleure adaptation au changement.🐠
En tout cas j’espère que tu as, ou que tu vivras une belle relation mutualiste avec ton partenaire 😘. Tu peux retrouvé la collection disquette « Pov: tu ne sais pas pecho » de st Valentin sur la boutique de Bluepage
Bonne st Valentin ! Et on se retrouve bientôt pour des nouvelles aventures dans la grande bleu 💙